The S.A.M. is about the Catholic Missions in China during the 20th Century. It is mostly all focused on Vincent Lebb and those who followed him. Click on the picture (above) and read an excellent résumé of the SAM in China.
Also: Look for "Vincent Lebb" on the Internet - Wikipedia ... it is very well documented.
The S.A.M. as a whole still exists in Brussels - Belgium and that is where we went for a visit with Father Hanquet a few years after our first reunion.
In their offices - an ancient house, I saw, piled in disorder on a large windowsill next to a staircace between two floors, a mountain of unconsulted documents Father Hanquet had brought back from New York after Father deJaegher's death.
I was unfortunately not allowed to consult any of these papers because - said they - I was not a recognized historian. Quite right!
Thanks to Father Hanquet, I was however permitted to scan father deJaegher's: First letter Home after Camp and a few "group" photos.
I hope that since then, all these papers are now classified and in good order but I have not found anything on the Internet about them yet.
2005, searching for documents about Weihsien at the SAM in Brussels.
Father Hanquet and Nicky Pander.
situation actuelle: novembre 2019 ...
Le champ d’action actuel de la SAM consiste à soutenir les samistes encore en vie, à classer et inventorier les archives qui se trouvent dans la maison afin de les rendre accessibles aux chercheurs.
Il y a encore actuellement 10 samistes en vie. Le plus jeune à 77 ans et le plus âgé 95 ans. 5 sont en Asie et 5 en Europe.
HISTOIRE DE LA SOCIÉTÉ DES AUXILIAIRES DES MISSIONS (S.A.M.)
Au début du XXe siècle, il n’y a encore aucun évêque autochtone dans l’Eglise en dehors de l’Europe. La naissance de la Société des Auxiliaires des Missions est liée à la constitution de l’épiscopat chinois dont le Père Vincent Lebbe, missionnaire belge en Chine, fut l’infatigable promoteur. Le sacre des 6 premiers évêques chinois aura lieu le 28 octobre 1926.
Ces évêques chinois ne disposent que d’un personnel très réduit dans leur diocèse. Ils ont besoin du renfort de prêtres séculiers venus de l’étranger. Ils appuient auprès de Rome la proposition du Père Lebbe et de son ami, l’abbé André Boland, d’organiser un groupe de prêtres séculiers prêts à servir exclusivement sous la juridiction d’évêques chinois. C’est l’embryon de la future Société.
Dès 1927, la Société des Auxiliaires des Missions (S.A.M.) prend forme sous la direction de l’abbé Boland. Les premiers membres de la nouvelle société sont originaires du diocèse de Liège. En septembre 1930, le premier Auxiliaire des Missions, Raymond de Jaegher, part en Chine. Le séminaire de la S.A.M., devenu plus tard le Centre Vincent Lebbe de Kessel-Lo, est ouvert en août 1931 à Louvain
La spécificité de la Société des Auxiliaires des Missions (S.A.M.) est de former des prêtres séculiers pour les mettre individuellement au service des évêques autochtones de Chine d’abord, puis des jeunes Eglises d’Asie et d’Afrique, d’une manière inconditionnelle et définitive. La Société n’a plus aucune autorité sur ceux-ci quand ils sont au service de leur évêque. Les Samistes ne se différencient pas du clergé local et s’efforcent d’être fidèles à l’esprit du Père Lebbe qui pourrait se résumer ainsi : être de son temps, être de son peuple, être avec les faibles et ceux qui souffrent l’injustice, partager la communauté de destin du peuple où ils sont envoyés.
Le 1er juin 1939, Mgr Joseph Kerkhofs, évêque de Liège, érige canoniquement la Société des Auxiliaires des Missions en Société de droit diocésain et en devient le Supérieur Majeur.
En 1972, les membres de l’Assemblée Générale de la S.A.M. prennent la décision d’ouvrir la voie à des initiatives nouvelles pour le service samiste afin de s’adapter aux besoins nouveaux des communautés chrétiennes d’Asie et d’Afrique. En effet, le Concile Vatican II a apporté un changement de perspectives missionnaires. Le contexte de la mission dans lequel la S.A.M. a été conçue n’existe plus. La promotion des Eglises locales est devenue un fait. Le monde a aussi profondément évolué.
En 1982, les membres de l’Assemblée Générale décident qu’en tant qu’institution recrutant et envoyant de nouveaux membres dans les Eglises locales, la S.A.M. a rempli sa mission et n’a plus aujourd’hui de raison spécifique d’exister. Ils estiment que la formule « Fidei Donum » offre, aux jeunes désireux de partir en mission, plus de possibilités que la SAM, tant au niveau du soutien individuel qu’au niveau de l’échange entre les Eglises.
La S.A.M. a formé 118 prêtres. La plupart d’entre eux sont partis servir dans plus de 30 diocèses en Asie ou en Afrique. Leurs responsabilités ont été aussi variées que leurs conditions de vie.
Selon les nécessités et les besoins de l’Eglise et du monde, les uns se sont consacrés davantage aux tâches pastorales classiques, à la formation du futur clergé, aux tâches administratives, tandis que d’autres se sont insérés dans le monde non-chrétien. Plusieurs se sont consacrés aux problèmes de développement et de conscientisation, d’autres à l’appui aux handicapés et au travail hospitalier. Certains se sont mis au service des ressortissants des pays de Mission qui séjournaient en Europe et aux USA.
En 2016, il y a encore 11 Samistes dont la plupart sont pensionnés : 7 en Asie et 4 en Europe. Les responsables de la S.A.M. continuent à veiller à ce que les meilleurs services leur soient rendus.